À propos

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »

Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen
du 26 août 1789 - Article 11

Sente de la chèvre qui bâille

Vous l'aurez certainement perçu ! Le personnage central de ce site est la chèvre et l'inspirateur de ce parcours, le flâneur de cette sente : Jean Domec. La collecte et la mise à disposition de ses textes est le principal objet de ces pages. Textes qui, pour la plupart, furent publiés dans divers journaux et revues [1] ou via Internet [2]. Cette mise à disposition veut dire qu'ils peuvent être librement reproduits en tout ou partie, la mention de leur auteur étant de nécessaire courtoisie.

Le contenu de ces textes n'engage que leur auteur qui peut être contacté par voie postale à l'adresse suivante :

M. Jean Domec
32, rue de Beaugaillard
37550 Saint Avertin

s'en est allé ce 28 octobre 2005 à 16 heures.

Sente de la chèvre qui bâille : Les délices du bois, l'adieu - Touraine, Roussette et Jean - Antoine Meunier, 1995

Ce site est façonné par Christian Domec (courriel : christian(à)domec.net [3]) qui en accepte avec plaisir la responsabilité éditoriale. Il est hébergé par la coopérative ouvaton et comporte quelques scripts qui, lorsqu'ils sont accessibles au visiteur, peuvent être recopiés sans vergogne.

De nombreux documents (écrits, images, photos, musiques...) sont là pour illustrer ou donner vie à l'altérité, ils sont d'auteurs aux horizons divers [4].

Mais, pourquoi donc ce nom ?

Comme tout nom, il a son histoire qui échappe déjà à celui qui le choisit. Des extraits d'un article de Jean-Pierre Dazelle, correspondant de la Nouvelle République à Saint Avertin - écrit postérieurement à la création de ce site - donne quelques indices :

« Un chemin situé en partie sud des Phalènes vient d'être nommé « passage de la chèvre qui bâille. » L'appellation n'est pas innocente puisque c'est ainsi que ce noble animal exprime son bien-être(...). C'est donc un hommage-clin d'œil à un ardent défenseur de la gente caprine, Jean Domec. » La Nouvelle République, 25 mai 2005.

Christian Domec, 2005


Nota :

[1] Sous forme d'article, de tribune libre ou de courrier, dans :

[2] Sur les sites internet suivants :

[3] Il suffit de remplacer (à) par @ pour obtenir une adresse conforme.

[4] Mentions concernant les documents :